Si l’issue de la rencontre Côte d’Ivoire-Nigéria aura finalement été bien décevante pour les supporters ivoiriens, pour le chef de l’État, il reste encore de l’espoir. Dans les moments qui ont suivi le coup de sifflet final, le président ivoirien Alassane Ouattara a adressé un message d’encouragement à l’équipe nationale.
« Encouragements »
« Mes encouragements vont à nos chers Éléphants. Vous avez tout notre soutien et notre confiance pour la suite de la compétition ! », a déclaré le président Ouattara quelques minutes après la fin du match, exprimant ainsi son soutien indéfectible à l’équipe nationale, sur sa page officielle Facebook.
Le match, comptant pour la deuxième journée de la Coupe d’Afrique des Nations, a pour rappel été un duel intense entre les deux équipes ouest-africaines. La première mi-temps a été marquée par une rencontre engagée, avec des tentatives de part et d’autre, mais aucun but n’a été marqué, laissant les deux équipes à égalité.
Cependant, la donne a changé en seconde période, avec un moment clé à la 54ᵉ minute. Une faute du défenseur ivoirien Ousmane Diomandé sur l’attaquant nigérian Victor Osimhen a conduit à un penalty transformé avec succès par Williams Ekong. Malgré quelques efforts des Éléphants pour renverser la situation, la défense solide des Super Eagles a prévalu.
Une place en huitièmes de finale
Cette défaite a des conséquences immédiates sur le classement du groupe A, où les Éléphants perdent leur position de leader au profit de la Guinée équatoriale, qui a remporté une victoire écrasante contre la Guinée-Bissau. Le Nigeria occupe désormais la deuxième place, laissant la Côte d’Ivoire à la troisième place.
Les regards se tournent maintenant vers la prochaine rencontre des Éléphants, prévue dimanche prochain face à la Guinée équatoriale, nouveau leader du groupe. Les hommes de l’entraîneur français jean Louis Gasset n’ont d’autre choix que de remporter ce match s’ils veulent décrocher une place en huitièmes de finale dans cette 34ᵉ Coupe d’Afrique des Nations qui se déroule sur leurs terres.
Axel KONE
